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7 idées reçues sur les voitures sans permis

Les idées reçues ont la vie dure et la voiturette n’y échappe pas, avec plusieurs mythes et idées préconçues sur ce type de véhicule pour son format compact et sa puissance limitée. Et pourtant, le « pot de yaourt » d’antan a bien évolué ! L’évolution des voitures sans permis brise cette image parfois dégradée et contribue à son succès croissant, notamment auprès des plus jeunes.

1. La voiturette, c’est pour les personnes âgées

Non, la voiture sans permis n’est pas l’apanage des seniors ! Si cela pouvait être le cas par le passé, la clientèle de la voiturette a fortement évolué ces dernières années, au point que les retraités ne représentent que trois conducteurs de voitures sans permis sur dix. D’après une étude d’assurance-vsp.com , l’âge médian est de 32 ans. La tranche des 30-50 ans est majoritaire et celle des 14-18 ans est en progression constante – un possesseur de voiturette sur dix désormais.

 

Car il est bon de rappeler qu’on peut rouler en voiture sans permis dès l’âge de 14 ans ! Chaque public trouve un avantage répondant à ses besoins dans le quadricycle léger : un véhicule plus sécurisant et confortable qu’un deux-roues pour les trajets urbains, une voiture accessible financièrement, un outil de mobilité lorsqu’on ne dispose pas du permis de conduire, etc.

2. Une voiture sans permis, c’est bruyant

Là encore, les constructeurs de voiturettes tels que Ligier ont pris en compte les critiques inhérentes à ce type de véhicule. Leur moteur thermique, un deux temps bicylindre diesel majoritairement, nécessite en effet un traitement acoustique spécifique pour atténuer le bruit. Cette problématique est davantage prise en compte sur les modèles récents afin de renforcer le confort dans l’habitacle via une meilleure insonorisation, mais aussi à l’extérieur du véhicule. Plus radical encore,   rouler en voiturette électrique permet de profiter d’un silence presque total !

3. Pas besoin de permis pour conduire une voiture sans permis

Pour les automobilistes nés après 1987, la législation impose l’obtention du permis AM pour prendre le volant d’un quadricycle léger, comme pour un deux-roues motorisé inférieur à 50 cm³. Cette formation a succédé au BSR en 2013. Elle se compose :
● d’une partie théorique, l’ASSR délivré au collège (en 5e) ou l’ASR pour les apprentis et les publics non scolarisés ;
● d’une partie pratique, 8 heures de conduite sans examen final à effectuer en auto-école ou auprès d’une école de conduite associative agréée.

4. Une voiturette, ça coûte cher

Pour un modèle neuf, on peut faire l’acquisition d’une voiture sans permis au prix d’environ 10 000 euros au sein de la gamme Microcar . De manière générale, les tarifs des voiturettes correspondent à la fourchette basse des citadines. Et lorsqu’elles s’affichent à prix équivalent, alors elles proposent un niveau d’équipement supérieur ! Sur le marché de l’occasion, il est possible d’acheter une voiture sans permis avec un budget d’environ 5000 euros, ce qui séduit une clientèle avec un faible pouvoir d’achat. À noter : l’achat d’une voiturette électrique donne droit à un bonus écologique de 900 euros.

5. Il existe peu de choix

Si le panorama des voitures sans permis est évidemment moins fourni que celui des véhicules de tourisme, il existe néanmoins une offre exhaustive en termes de marques et même de gammes de voiturettes. En faisant le choix d’une voiture sans permis, on peut rouler dans une voiture fabriquée en France – notamment avec Ligier – et accéder à un large choix, de la petite citadine au SUV ! Le choix, c’est aussi un véhicule thermique ou électrique, ou encore des finitions différentes et des options qui vont personnaliser la voiturette des jantes au design et au coloris de la carrosserie.

6. Le confort est rudimentaire dans une voiture sans permis

Par définition, un quadricycle léger est un véhicule proposant deux places : une pour le conducteur, une autre pour le passager. Pour autant, l’habitacle d’une voiturette n’est pas dénué de confort, loin de là ! En matière de sellerie, on peut ainsi opter pour des sièges simili cuir avec appui-tête grain carbone, comme le propose la JS50 de Ligier dans sa finition Sport Ultimate. On peut aussi choisir un siège chauffant, et bénéficier de la climatisation. Caméra de recul et connectivité Bluetooth constituent d’autres options contribuant au confort au volant d’un modèle haut de gamme.

7. C’est un véhicule accidentogène

C’est l’idée reçue sur les voitures sans permis sans doute la plus injuste, car la réalité est exactement inverse ! C’est bien simple : le taux d’accident des voiturettes est plus faible que pour tout autre type de véhicule sur les routes en France. La vitesse limitée à 45 km/h d’un quadricycle léger est évidemment la première des raisons. Et même en cas de sinistre, l’habitacle joue son rôle de protection des occupants du véhicule, ce qui les sécurise nettement plus que s’ils avaient pris le guidon d’un deux-roues. C’est l’une des bonnes raisons de rouler en voiture sans permis d’ailleurs   !